La mer sans mouvement envahit la maison
Aujourd'hui dans l'ombre des chambres remue l'éternité
L'abondance accordée aux signes
Qui jumelle la nuit à un sommeil d'enfant
[…]
Sa terre au cri de vitrier
Cela harcèle son réveil
Terre raidie dans la sueur des vêtements anciens
Qui ressasse le roc la poussière l'épine
Son champ désert sa chaleur en couronne
Ignorant les cours d'eau la rosace des puits
Hommes avares femmes avides petits soldats
De toutes guerres que les mères ont endurcis