Dix-huit ans, début des voyages
Installation en Haute-Provence, par choix “la dure
réalité à étreindre”, après
une formation universitaire solide à Paris (esthétique,
lettres).
La vie lente, en province ; un ermitage-“tanière”
où se retirer, un “camp de base” d'où partir.
Voyages, parcours et traversées à pied ; à skis.
La vie éprouvée suffisamment pleine - les
“expériences” dont parle Rilke : “Pour
écrire un seul vers, il faut avoir vu beaucoup de villes,
d'hommes et de choses...” –, publications.
Des rencontres, quelques amitiés littéraires sur le long cours.
Le lien maintenu avec la peinture – passion originelle.
Ainsi dire le monde et ses images. C.D.